Pour être protégé contre le licenciement, le lanceur d’alerte doit avoir dénoncé des faits délictueux
Le lanceur d’alerte est protégé d’un licenciement. Mais cette protection n’est valable que si les faits qu’il dénonce sont de nature à caractériser une infraction pénale (crime ou délit). C’est ce qu’a décidé la Cour de cassation dans un arrêt du 4 novembre 2020.